C'est sûr que c'est un peu ce que j'ai voulu dans ma colère,
C'est sûr que quand je m'emballe je ne sais pas m'arrêter,
C'est sûr que fallait pas piétiner mon respect,
C'est sûr...
N'empêche que là...
Je me demande si je suis du bon côté de la force
J'ai l'impression d'avoir fait un pacte avec le diable
Mais peut-être était-ce la seule solution
La lie des âmes, la cruauté des sentiments... sur ses blogs, elle en étale... l'autre lui répond. Je ne sais pas ce qui m'a pris de lire.
Cette mouf me faisait penser à une ex et elle se comporte juste pareil, sauf que ce coup ci je me suis barrée avant le pire et qu'au fond, peut-être juste pour ça, elle a quand même un peu plus de respect pour moi. C'est étrange. Je pense qu'on ne va pas par hasard vers telle ou telle personne.
Elles sont mes transitions... sans doute pour mettre en valeur ce en quoi je crois... et qu'elles n'ont pas.
Arf comme quoi... j'ai bien fait.
J'ai toujours été nostalgique, vas savoir pourquoi. L'abandon chez moi c'est un truc qui me tenaille les tripes. Ca me fait pleurer, m'écrouler comme un château de cartes alors que je suis forte sur bien d'autres choses. Mais comme dit mon pote G "les regrets sont les pensées des bons souvenirs mais qui n'appartiennent qu'au passé. Faut viser le présent"
Et mon présent est ailleurs, là pas si loin. Continuer à se construire avec tout ce que j'ai reçu d'elle.
Envie
Tendresse
Pas envie
Sourire
Rire
Effroi
Peur
Colère
Détresse
Appui
Émotion
Sourire
Rire
Amitié
Concentration
Spleen
Sourire
Sons
Danse
Méditation
Sourire
Soupir
Vie intense ces jours-ci
Ce vide en blancs de suspensions
Dernier rdv dans une poignée de jours en confusion
J'ai la peur un peu tragique de le combler
J'ai ce douloureux pas envie de t'effacer
Et au fond de mon cœur ce raté
Et au fond de mon cœur cette envie de pleurer
Et au fond ce que j'ai cru en toi
Et au fond si seulement ça avait été toi
Je l'avais commencée cette toile
Celle qui parlait de rouge sur blanc
Elle trônait brillante aux regards
J'ai effacé le rouge
Il y'a comme un brouillard
Sur nos battements de nos vies
Où es-tu?
Où es-tu...
Je voudrais que qu'il n'y ait pas un mot
Te suivre jusqu'à la chambre
Te tenir par la nuque
Te mettre à mes pieds
Je veux que tu me lèches la braguette
T'interdire de l'ouvrir et faire durer
Avant de t'ordonner de te déshabiller
A genoux au bord du lit
Cette fois, j'en aurais rien à faire des voisins
Rien à faire du bruit des claques
Rien à faire d'être à l'écoute de tes désirs
Tu ne vas plus pouvoir t'assoir sans penser à moi
Je veux que tu me supplies d'arrêter
Je veux que tu te résignes à subir
Je veux que tu serres les dents
Je veux que tu morfles
Je veux continuer
Jusqu'à ce que tu cries
Jusqu'à ce que tu perdes les pédales
Jusqu'à ce que tu jouisses
Je veux que tu craques ta carapace
Parce que c'est ce que tu attends
Parce que si tu ne le fais pas
Ca va finir par te détruire
Et moi je tiens à toi
